Homosexuality in ancient Egypt is a disputed subject within Egyptology. Historians and egyptologists alike debate what kinds of views the ancient Egyptians' society fostered about homosexuality. Only a handful of direct clues survive, and many possible indications are vague and subject to speculation.
Homosexualité... en Egypte ancienne !
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Egyptologists and historians disagree about how to interpret the paintings of Nyankh-khnum and Khnum-hotep. Some scholars believe that the paintings reflect an example of homosexuality between two married men and prove that the ancient Egyptians accepted same-sex relationships.[2] Other scholars disagree and interpret the scenes as an evidence that Nyankh-khnum and Khnum-hotep were twins, or even possibly conjoined twins. No matter what interpretation is correct, the paintings show at the very least that Nyankh-khnum and Khnum-hotep must have been very close to each other in life as in death.[1]
The famous rape of Horus by his jealous uncle is also a subject of passionate discussion. While most scholars agree that the papyrus clearly describes rape, it must remain open, whether it actually describes a homosexually driven deed. Background of the dispute are Seth's motives: he does not love Horus; in contrast, he hates his nephew and the rape was clearly performed to humiliate Horus. The only common ground between the rape and homosexuality is that the act was of same-sex nature.[3] But some scholars[who?] are not so sure and point out that Seth was often credited with alternative sexual interests.[citation needed]
It remains unclear what exact view the ancient Egyptians fostered about homosexuality. Any documents, or literature that contain stories involving sexual acts never name the nature of the sexual deeds but instead use flowery and euphemistic paraphrases. While the stories about Seth and his sexual behavior may reveal rather negative thoughts and views, the tomb inscription of Nyankh-khnum and Khnum-hotep may instead suggest that homosexuality was likewise accepted. Ancient Egyptian documents never clearly say that same-sex relationships were seen as reprehensible or despicable. No ancient Egyptian document mentions that homosexual acts were punishable offenses. Thus, a direct evaluation remains problematic.[1][3]
Avec son film "Secrets de famille", Hany Fawzy s'attaque pour la première fois au sujet de l'homosexualité en Egypte. Avant même sa sortie en salle, ce thème, tabou dans le pays, lui a déjà valu les critiques de la censure.
Connu et reconnu pour ses nombreux scénarios, Hany Fawzy a choisi pour le premier film qu'il réalise lui-même de centrer son récit sur l'homosexualité de son héros, Marouane, un pari audacieux lancé avec Mohamed Abdel Qader, qui signe là son premier scénario.
D'autres films égyptiens évoquaient déjà l'homosexualité, féminine comme masculine, tel que "L'immeuble Yacoubian", tiré du roman éponyme de Alaa al-Aswany, qui racontait l'histoire d'un journaliste homosexuel.
Mais ce dernier n'était pas l'unique héros du récit et "Secrets de famille", premier film égyptien à faire de l'homosexualité son sujet central, fait figure d'exception dans le paysage cinématographique égyptien, et arabe plus généralement.
En Egypte, où l'homosexualité, souvent tue, est condamnée comme une déviance" par l'islam comme par l'Eglise copte, la communauté gay reste discrète et les rencontres se font généralement sur les réseaux sociaux.
Si la loi égyptienne n'interdit pas formellement l'homosexualité, plusieurs affaires ont défrayé la chronique ces dernières années. La plus retentissante a eu lieu en 2001 lorsque 52 présumés homosexuels ont été arrêtés à bord d'un bateau-discothèque amarré au Caire, et 23 condamnés à des peines allant d'une à cinq années de prison, notamment pour "débauche".
En effet, le film présente l'homosexualité comme une maladie qui pourrait être soignée. D'ailleurs, à la fin du film, même si cela le met mal à l'aise, Marouane décide de renoncer aux hommes après avoir consulté successivement quatre psychiatres.
Le mois dernier, interrogé par l'AFP au festival du film d'Alexandrie, le directeur du comité de la censure Ahmed Awad avait assuré que "Secrets de famille ne subira aucune censure en raison du fait qu'il parle d'homosexualité". En revanche, "des modifications ont été demandées pour certaines scènes", avait-il ajouté sans plus de détail.
En 2019, l'homosexualité est passible de la peine de mort dans 12 pays (dont le Qatar et l'Iran) et elle est considérée comme illégale dans 70 pays (le Maroc, la Malaisie, la Syrie, le Sri Lanka ou encore la Tanzanie).
Dans une interview accordée à l'agence de presse AP, le pape François s'est exprimé sur la situation des homosexuels à travers le monde, jugeant les lois pénalisant l'homosexualité comme "injustes".
Pour comprendre les pratiques homosexuelles dans l'Antiquité, l'une des portes d'entrée les plus passionnantes reste l'ouvrage classique de l'historien Kenneth J. Dover, Homosexualité grecque. Au-delà de ses mérites et de l'érudition de son auteur, ce livre a la particularité d'être un exercice utile de démystification d'une période longtemps considérée comme un âge d'or de l'homosexualité. Certes, Dover et de nombreux autres auteurs après lui, notamment Claude Mossé et Paul Veyne, mettent bien en lumière l'existence de rapports sexuels fréquents entre individus de sexe masculin dans l'Antiquité. Et lorsqu'on voit sur un vase un jeune homme donner un lièvre à un garçon, c'est bien d'un cadeau d'amour qu'il s'agit ; ou quand un garçon caresse le menton d'un autre, c'est bien d'une proposition dont il est question. Toute une littérature évoque d'ailleurs l'amour des garçons, depuis Platon (Le Banquet, Phèdre), jusqu'à Plutarque (Dialogue de l'amour). Mais Dover montre très bien qu'il y a une grande différence entre le rapport sexuel avec une personne de son sexe et la situation qui consiste à aimer le même sexe. Dans la société grecque classique, les rapports charnels entre individus de sexe masculin étaient très codifiés et très hiérarchisés. Il y avait surtout la distinction, dans l'éthique grecque, entre le rôle actif et valorisé de l'éraste, qui prenait l'initiative de la conquête amoureuse, et le rôle passif de l'éromène, le partenaire le plus jeune, objet du désir. Pour les adolescents, la passivité était tout simplement une étape normale de leur préparation à la vie d'homme. Pour autant, il serait réducteur de soutenir que ces pratiques se justifiaient uniquement par leur usage initiatique, en tant que rites de passage dans la société des adultes. Une multitude de textes et de représentations iconographiques indiquent que dans la Grèce classique et, plus tard, dans le monde hellénisé, ces pratiques sont d'une fréquence, d'une banalité et d'une visibilité telles qu'elles ne cadrent absolument plus avec une explication rituelle. Elles disent plus simplement le statut socialement privilégié des rapports sexuels masculins dans cette civilisation d'avant le péché.
Dans tous les cas, en Grèce comme à Rome, l'homme qui désire un autre homme ne fait pas, selon Dover, une expérience assimilable à ce que nous appelons aujourd'hui homosexualité . L'alternative qui voudrait qu'une personne soit hétérosexuelle ou homosexuelle n'est pas alors concevable. S'il y eut probablement, comme partout ailleurs, des cas d'attachement sexuel plus intense entre certains porteurs de barbes , ceux-ci restèrent secrets car ils n'étaient nullement encouragés par la société. Dans la vie publique, les hommes libres, qui constituaient le petit nombre des citoyens de plein droit, se devaient de rester virils et actifs , qu'ils fussent en relation avec des esclaves, de jeunes adolescents ou des femmes. Jamais, de toute manière, ils n'excluaient les rapports avec les femmes. Les actes sexuels avec des partenaires de même sexe n'avaient donc pas une valeur exclusive et encore moins identitaire . C'est pourquoi on peut affirmer en ce sens que l'homosexuel n'existe pas dans l'Antiquité.
Comme le souligne également l'historien Paul Veyne, ce que nous savons de l'Antiquité classique témoigne non pas d'une homosexualité opposée à l'hétérosexualité, mais de comportements homosexuels liés à certains âges de la vie ou à certaines circonstances qui n'excluaient pa [...]
C'était un présentateur vedette de la chaîne LTC TV. Mohamed al-Gheiti, qui s'était plusieurs fois dit opposé à l'homosexualité, a été reconnu coupable de promouvoir cette orientation sexuelle ainsi que d'outrage à la religion. Il a écopé d'un an de prison ferme après avoir interviewé un homosexuel en août 2018.
Son tort a été d'inviter un homme gay dans son émission télévisée sur la chaîne privée LTC TV et avait débattu avec lui sur le thème de l'homosexualité à l'antenne. Au cours de l'interview, l'invité, dont le visage était flouté pour rester anonyme, avait confié être un travailleur du sexe et avait parlé de sa relation avec un autre homme.
Le code pénal du pays ne prohibe pas explicitement l'homosexualité mais les tribunaux utilisent régulièrement les incriminations de "débauche" ou de "prostitution" pour condamner les homosexuels. Mohamed al-Gheiti peut faire appel du verdict, et dans le cas échéant rester en liberté en attendant son nouveau verdict, à condition de payer une caution de 1.000 livres égyptiennes (environ 50 euros). Pour l'heure, on ne sait pas si ce dernier a pris une décision en ce sens.
Selon des documents transmis à l'AFP, Richard Tumwiine, 64 ans, avait financé les études de droit de cette femme avec qui il entretenait une relation.Mais la femme, jeune trentenaire, avait ensuite déclaré qu'elle ne "pouvait pas épouser un homme âgé"."Étant donné que la promesse de se marier n'a pas été remplie", le tribunal a estimé que le plaignant avait droit au remboursement des quelque 9,4 millions de shillings ougandais (2.560 dollars) dépensés pour financer les études de la jeune femme, selon un jugement rendu jeudi par le magistrat Charles Mukobi.La justice a en outre ordonné à l'étudiante en droit de payer un million de shillings (270 dollars) en dommages et intérêts pour le préjudice d'"angoisse psychologique".Selon le tribunal, la jeune femme n'a pas présenté de défense ni assisté à l'audience dans la localité de Kanungu, à l'ouest de l'Ouganda. Elle n'a pas pu être jointe par l'AFP.Le plaignant, un professeur à la retraite, a assuré vendredi à l'AFP que cette affaire lui avait "laissé des blessures permanentes au coeur".Mais l'ancienne ministre et militante des droits des femmes Miria Matembe a estimé auprès de l'AFP que ce jugement "unilatéral" constituait "un cas classique de la façon dont les systèmes judiciaires favorisent les hommes". 2ff7e9595c
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